Plus de la moitié des ménages honduriens sont en dessous du seuil de pauvreté et près d'un quart vivent dans une extrême pauvreté. Ce programme conjoint a soutenu le gouvernement dans ses efforts pour promouvoir la culture en tant que moteur du développement économique et de la construction de la citoyenneté. 

En raison de leur culture ou leur origine ethnique, de nombreuses minorités et populations défavorisées en Équateur sont victimes de discrimination et d'exclusion sociale, et leurs droits et chances pour l'éducation, la santé et la production agricole sont sévèrement négligés. Le Programme conjoint a favorisé la revalorisation de la diversité culturelle, de l’inclusion et du dialogue interculturel afin de combler le fossé de la discrimination et de briser le cycle de la pauvreté qui affecte ces groupes.

L'objectif de ce programme conjoint était d'aborder le conflit opposant les populations autochtones aux autres groupes de la société chilienne. Ces tensions proviennent du processus historique d'expropriation des terres et des ressources des peuples autochtones, plongeant cette population dans la marginalisation et la pauvreté, la mise en œuvre de projets d’investissements à large échelle dans les zones principalement occupées par les autochtones, et les difficultés d’appliquer des politiques de développement public. Le Programme conjoint a soutenu le renforcement des capacités nationales et les efforts locaux visant à gérer les conflits en cours et à éviter l'apparition de nouvelles zones de conflit.

Ce programme visait à encourager l’inclusion culturelle et sociale des groupes marginalisés et à promouvoir le potentiel de production du secteur de la créativité en utilisant les installations de La Libertad Park, un espace consacré aux projets artistiques, écologiques et culturels. Le projet a permis de cibler une quinzaine de districts marginalisés situés dans la zone urbaine la plus étendue du pays, couvrant 700 000 habitants (et représentant 29 % de la grande région métropolitaine et 16,5 % du pays).